Trouver un job qui a du sens
Se former à l’impact
Profil
Divers
Fiche métier
Consultant RSE / consultante RSE: rôle, missions et salaire
Utilité sociale
Intérêt des missions
Rectitude morale
Equilibre vie pro/perso
Relations de travail
Reconnaissance
En tant que Consultant·e RSE, tu es un·e acteur·rice clé de la transformation durable des entreprises. Ton rôle ? Accompagner les organisations à intégrer les enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) au cœur de leur stratégie. Tu analyses leurs pratiques actuelles, identifies les axes d’amélioration et proposes des solutions innovantes pour réduire leur impact négatif et maximiser leur contribution positive. Plus qu’un·e simple conseiller·ère, tu es un·e véritable chef·fe d’orchestre du changement, mobilisant les équipes et les parties prenantes autour d’une vision partagée.
Le nombre d’offres pour le métier de Consultant·e RSE n’est pas suffisant pour présenter une fourchette salariale précise selon les données de France Travail. Cependant, les salaires peuvent varier considérablement en fonction de ton expérience, de la taille du cabinet de conseil ou de l’entreprise, et de ta localisation géographique. En général, un·e Consultant·e RSE débutant·e peut s’attendre à un salaire autour de 2 500 € brut par mois, tandis que les profils plus expérimentés avec un solide réseau et une expertise pointue peuvent atteindre 4 500 € ou plus. N’hésite pas à affiner ta recherche en fonction du secteur d’activité qui t’intéresse, car cela peut aussi influencer la rémunération !
Tu te demandes si le métier de consultant·e RSE est fait pour toi ? Voici quelques qualités qui, si tu les possèdes, pourraient bien faire de toi un·e excellent·e consultant·e RSE :
Envie de devenir consultant·e RSE ? Plusieurs chemins mènent à ce métier passionnant ! Des études supérieures en développement durable, RSE, sciences sociales, ingénierie ou commerce sont souvent un bon point de départ. Tu peux ensuite te spécialiser avec un master ou une formation complémentaire en RSE, gestion de projet durable ou analyse environnementale. Les écoles de commerce et d’ingénieurs proposent également des cursus adaptés. N’hésite pas à te forger une première expérience via des stages ou du bénévolat dans des organisations engagées.
Formations certifiantes pour prendre en compte les transitions écologiques dans sa pratique professionnelle
Forme toi aux métiers verts pour contribuer à la transition écologique
Programme d'incubation pour monter une école qui accompagne et forme des jeunes éloignés de l'emploi et de la formation aux métiers manuels de la transition écologique
Compétences techniques | Compétences comportementales |
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Connaissance des normes RSE (ISO 26000, GRI…) | Esprit d’analyse et de synthèse |
Maîtrise des outils d’évaluation environnementale (bilan carbone, ACV…) | Excellent relationnel et communication |
Expertise en reporting extra-financier | Capacité d’adaptation et flexibilité |
Connaissance des enjeux ESG | Sens de l’écoute et de la pédagogie |
Maîtrise des outils de gestion de projet | Force de conviction et leadership |
Le coeur de ce métier est d’avoir un impact positif sur le plan écologique.
En tant que Consultant·e RSE, tu guides les entreprises vers des pratiques plus durables. Ton rôle est d’intégrer les enjeux environnementaux et sociaux au cœur de leur stratégie.
Tu analyses leur impact, proposes des solutions concrètes et les aides à mettre en place des actions responsables.
C’est un métier clé pour accélérer la transition écologique et construire un avenir plus durable.
Le métier de Consultant·e RSE est au cœur de la transition. Face à l’urgence climatique et aux enjeux sociaux, la demande pour ce type d’expertise explose.
De nouvelles compétences émergent, comme l’analyse de cycle de vie, l’économie circulaire ou encore la finance durable.
C’est un métier en constante évolution, où l’innovation et l’adaptabilité sont essentielles pour accompagner les entreprises vers un modèle plus responsable.
Avantages | Inconvénients |
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Impact positif direct sur l’environnement et la société. | Forte pression pour atteindre les objectifs RSE. |
Diversité des missions et des secteurs d’activité. | Nécessité de se tenir constamment informé·e des évolutions réglementaires. |
Valorisation des compétences en développement durable. | Risque de greenwashing et de déception face à l’inaction de certaines entreprises. |
Rôle clé dans la transition écologique des entreprises. | Difficulté à mesurer l’impact réel des actions mises en place. |