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Profil
Divers
Fiche métier
Hydrobiologiste: rôle, missions et salaire
Utilité sociale
Intérêt des missions
Rectitude morale
Equilibre vie pro/perso
Relations de travail
Reconnaissance
L’hydrobiologiste est un·e véritable détective des milieux aquatiques. Tu plonges au cœur des rivières, des lacs et des zones humides pour étudier la vie qui s’y cache. Ton rôle ? Analyser les interactions complexes entre les organismes vivants et leur environnement, afin de comprendre comment préserver ces écosystèmes fragiles. Tes découvertes aident à protéger la biodiversité et à assurer une gestion durable des ressources en eau.
En moyenne, 80% des offres proposent un salaire compris entre 2 083 € et 3 941 € brut par mois. Ton salaire d’hydrobiologiste variera en fonction de ton expérience, du type d’organisme qui t’emploie (public, privé, association) et de la région où tu exerces. Avec de l’expérience et des responsabilités accrues, tu pourras prétendre à une rémunération plus élevée.
(Source : France Travail, T2 2024)
Tu te demandes si la vie d’hydrobiologiste est faite pour toi ? Voici quelques pistes pour t’aider à y voir plus clair. Ce job est peut-être fait pour toi si :
Envie de devenir hydrobiologiste et d’étudier les écosystèmes aquatiques ? Plusieurs parcours s’offrent à toi ! Après un bac scientifique, tu peux opter pour une licence en biologie, sciences de la Terre ou environnement. Pour te spécialiser, un master en hydrobiologie, écologie aquatique ou sciences de l’environnement est fortement recommandé. Ces formations te donneront les connaissances et compétences nécessaires pour analyser la biodiversité, évaluer la qualité de l’eau et participer à la gestion durable des milieux aquatiques. Des stages te permettront d’acquérir une expérience de terrain.
Cours en ligne à suivre à son rythme et mises en pratique pour sa reconversion professionnelle ou ses études
Formation diplômante et financée en agriculture durable
Formation théorique et pratique pour gérer une ferme maraîchère bio-intensive rentable et où il fait bon vivre
Compétences techniques | Compétences comportementales |
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Maîtrise des techniques d’échantillonnage et d’analyse de l’eau | Esprit d’analyse et de synthèse |
Connaissance approfondie des écosystèmes aquatiques | Capacité à communiquer clairement (oral et écrit) |
Identification de la faune et de la flore aquatiques | Sens de l’observation et attention aux détails |
Utilisation des outils statistiques pour l’analyse des données | Aptitude à travailler en équipe et à collaborer |
Maîtrise des logiciels de modélisation environnementale | Rigueur scientifique et éthique professionnelle |
Le cœur de ce métier est d’avoir un impact positif sur le plan écologique.
En tant qu’hydrobiologiste, tu es un·e expert·e de la vie aquatique et des écosystèmes d’eau douce. Ton rôle est crucial pour comprendre, protéger et restaurer ces milieux fragiles, menacés par la pollution, le changement climatique et les activités humaines. Tu analyses la qualité de l’eau, étudies les populations animales et végétales, et proposes des solutions pour préserver la biodiversité et assurer une gestion durable des ressources en eau. Par exemple, tu peux travailler sur la restauration d’une rivière polluée, ou sur la mise en place de mesures de protection pour une espèce menacée.
Le métier d’hydrobiologiste est déjà intrinsèquement lié à la transition écologique. Cependant, les défis environnementaux croissants renforcent son importance et élargissent son champ d’action. On attend de plus en plus de toi que tu sois capable d’anticiper les impacts du changement climatique sur les écosystèmes aquatiques, de développer des solutions innovantes pour la gestion de l’eau, et de sensibiliser le public à la protection de l’environnement. La demande pour des expert·e·s en hydrobiologie ne cesse de croître, offrant de nouvelles opportunités pour celles et ceux qui souhaitent s’engager pour la planète.
Avantages | Inconvénients |
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Impact positif sur l’environnement. | Travail parfois physique et en extérieur. |
Diversité des missions et des terrains. | Nécessite de longues études spécialisées. |
Contribution à la recherche scientifique. | Salaires parfois modestes en début de carrière. |
Autonomie et responsabilités. | Peut impliquer des déplacements fréquents. |