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Profil
Divers
Fiche métier
Controleur interne / controleuse interne: rôle, missions et salaire
Le sens de ce métier
Utilité sociale
Intérêt des missions
Rectitude morale
Equilibre vie pro/perso
Relations de travail
Reconnaissance
Résumé du métier en 4 points
- Utilité : Tu assures la fiabilité des informations financières et le respect des procédures, contribuant ainsi à la bonne gestion et à la transparence de l'organisation.
- Type de structure : Tu peux exercer ce métier dans des entreprises de toutes tailles, des associations ou des organisations publiques.
- Études : Un diplôme de niveau Bac +5 en finance, comptabilité, audit ou contrôle de gestion est généralement requis.
- Salaire : La majorité des offres proposent un salaire entre 2000€ et 3500€.
Rôle, missions et salaire du Contrôleur·euse interne
En tant que contrôleur·euse interne, tu es le·la garant·e de la conformité et de la gestion des risques au sein d’une organisation. Ton rôle est crucial pour assurer l’efficacité des opérations et la fiabilité des informations financières. Tu analyses les processus, identifies les faiblesses et proposes des améliorations pour renforcer le contrôle interne. Plus qu’un simple vérificateur·rice, tu es un·e acteur·rice clé de la performance et de la pérennité de l’entreprise.
Missions principales
- Réaliser des audits ou le contrôle des opérations comptables et financières de structures selon les obligations légales.
- Contribuer à la prévention et à la maîtrise des risques financiers de structures.
- Rechercher les irrégularités éventuelles.
- Élaborer des recommandations pour améliorer les processus et renforcer le contrôle interne.
- Apporter un appui technique en gestion comptable et financière à des entreprises en difficulté.
Quel salaire pour les Contrôleur·euse Internes ?
En moyenne, 80% des offres proposent un salaire compris entre 2 000 € et 3 500 € brut par mois. Ton salaire de contrôleur·euse interne peut varier en fonction de ton expérience, de la taille de l’entreprise où tu travailles, et de ta localisation géographique. Avec l’expérience et l’acquisition de compétences spécifiques, tu pourras prétendre à des rémunérations plus élevées.
(Source : France Travail, T2 2024)
C’est fait pour moi si…
Tu as envie d’un job où rigueur et éthique sont tes maîtres mots ? Si tu aimes comprendre comment les choses fonctionnent et les améliorer, ce métier est peut-être fait pour toi !
- Je suis méthodique : J’aime analyser les situations de manière structurée.
- Je suis intègre : L’honnêteté et la transparence sont des valeurs importantes pour moi.
- Je suis curieux·se : J’ai envie d’apprendre et de comprendre les rouages d’une organisation.
- Je suis pédagogue : J’aime expliquer et partager mes connaissances.
Comment devenir Contrôleur·euse interne
Pour devenir contrôleur·euse interne, plusieurs voies s’offrent à toi. Les diplômes en finance, comptabilité, audit ou contrôle de gestion sont un excellent point de départ (Bac +5). Les écoles de commerce ou les masters universitaires spécialisés sont particulièrement appréciés. Des certifications professionnelles comme le CIA (Certified Internal Auditor) peuvent booster ta carrière et prouver ton expertise. L’expérience terrain, acquise via des stages ou des premiers emplois dans des fonctions similaires, est tout aussi cruciale.
Les formations pour devenir Controleur interne / controleuse interne
Forme-toi aux métiers du management en intégrant les enjeux environnementaux et sociaux
Programme Bac +5 avec 4 domaines de spécialisation : stratégie, finance, marketing et achats
Mastère dans le domaine de la transition écologique
Forme-toi aux métiers de la RSE, biodiversité, bâtiment ou finance durable
Deviens expert.e des stratégies climat
Formations pour transformer l’entreprise vers la maîtrise de son empreinte carbone et la décarbonation
Les compétences requises pour devenir contrôleur·euse interne
| Compétences techniques | Compétences comportementales |
|---|---|
| Maîtrise des normes d’audit et de contrôle interne | Rigueur et sens de l’organisation |
| Connaissance approfondie des réglementations financières | Esprit critique et capacité d’analyse |
| Analyse des risques et procédures de contrôle | Excellentes compétences en communication |
| Utilisation des outils d’analyse de données (Excel, SQL…) | Diplomatie et capacité à convaincre |
| Comptabilité et finance d’entreprise | Intégrité et éthique professionnelle |
Le métier de Contrôleur·euse interne dans la transition écologique et solidaire
Quel est le rôle du·de la contrôleur·euse interne dans la transition écologique et solidaire ?
Ce métier peut avoir un impact positif s’il est exercé dans une structure à impact.
En tant que contrôleur·euse interne, tu es le·la garant·e de la conformité et de la gestion des risques. Si tu rejoins une organisation engagée, ton rôle prend une nouvelle dimension.
Tu peux mettre en place des outils de suivi pour évaluer l’impact environnemental et social des activités, identifier les risques liés aux enjeux de durabilité et proposer des améliorations.
Ton expertise contribue à assurer la transparence et la fiabilité des informations extra-financières, essentielles pour piloter la transition écologique et solidaire de l’entreprise.
Comment le métier se transforme avec la transition écologique
Le métier de contrôleur·euse interne évolue pour intégrer les enjeux de durabilité.
Alors qu’il était traditionnellement centré sur la conformité financière, il s’étend désormais à la gestion des risques environnementaux et sociaux.
Les contrôleur·euses internes doivent se familiariser avec les normes et réglementations en matière de développement durable, ainsi qu’avec les outils d’évaluation de l’impact environnemental et social.
Cette transformation offre de nouvelles perspectives pour celles et ceux qui souhaitent mettre leurs compétences au service d’une économie plus responsable.
Les emplois de Contrôleur·euse interne
Comptable - H/F (H/F)
Accompagner la transition énergétique des bâtiments par des diagnostics pertinents et des solutions de rénovation pour un avenir durable.
Aujourd'hui
Expérimentation en cours : cette annonce a été importée depuis France Travail. Cette annonce n'est pas à impact ?
Hygiéniste auditeur alimentaire secteur IDF (H/F)
Protéger la santé et l'environnement par des analyses et une expertise pointues, anticipant les enjeux sanitaires et environnementaux de demain.
Aujourd'hui
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Comptable (H/F)
Cette association œuvre pour un monde solidaire. Elle sensibilise, éduque et met en place des actions durables pour réduire les inégalités.
Il y a 7 jours
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En savoir plus sur le métier de Contrôleur·euse interne
Avantages et inconvénients du métier de Controleur interne / controleuse interne
| Avantages | Inconvénients |
|---|---|
| Centralisation et consolidation des données de l’entreprise. | Nécessite une expertise technique et une formation approfondie. |
| Visualisation interactive et personnalisable des données. | Coût potentiellement élevé de la licence et de la mise en œuvre. |
| Identification rapide des tendances et des anomalies. | Peut être complexe à configurer et à intégrer avec d’autres systèmes. |
| Amélioration de la prise de décision grâce à des tableaux de bord clairs. | Courbe d’apprentissage potentiellement longue pour les utilisateurs novices. |
5 idées reçues sur le métier de contrôleur·euse interne :
- “C’est un métier ennuyeux et répétitif.”
Faux : Tu jongles entre analyse de données, identification de risques et proposition d’améliorations, chaque jour est différent ! - “Il faut être un·e expert·e en comptabilité dès le départ.”
Faux : Bien que les chiffres soient importants, tes qualités d’analyse et de communication sont primordiales. - “C’est un métier solitaire.”
Faux : Tu interagis avec toutes les équipes de l’entreprise pour comprendre les processus et proposer des solutions. - “Tu es perçu·e comme un·e policier·ère qui traque les erreurs.”
Faux : Ton rôle est d’accompagner les équipes et de les aider à améliorer leurs pratiques, pas de les juger. - “C’est un métier sans impact.”
Faux : Tu contribues à la pérennité et à l’efficacité de l’entreprise en identifiant les risques et en optimisant les processus, c’est makesense non ?
