L'açai ça vient de loin, quid de l'empreinte carbone ?
L’açaí est un fruit exotique qui ne pousse que dans les climats tropicaux, comme la banane, le café ou encore le cacao. Pour limiter l’empreinte carbone de notre activité, nous n’utilisons pas le transport aérien, mais le transport maritime, qui émet beaucoup moins de gaz à effet de serre.
Les émissions de gaz à effet de serre liées au transport maritime sont compensées par la préservation de la forêt permise par la cueillette d’açaí sauvage. En effet, la culture de l’açaí contribue à limiter la déforestation et donc à maintenir le carbone stocké par la forêt (chaque hectare de forêt amazonienne stocke environ 250 tonnes de carbone).
Remarque : Le transport maritime de 1kg de notre pulpe d’açaí du Brésil émet 100g de CO2. Pour comparaison, la production de 1kg de tomate bio émet 200g de CO2 et de 1kg de tomate sous serre chauffée émet 2200g de CO2. En effet, pour la plupart des aliments, ce n’est pas le transport qui a l’impact écologique le plus important, mais la production (engrais, pesticides, usage des machines pour labourer, traiter, cueillir, ou de serres chauffées). Dans notre cas, toute la cueillette est faite à la main sur des arbres sauvages, donc la production n’émet aucun gaz à effet de serre.