La Ferme du Bonheur est un cercle de recherche, de réflexion et d’action sur l’Homme et la Terre. On y pratique la Culture sous toutes ses formes : théâtre, musique, danse, arts plastiques et cinéma ; architecture et urbanisme ; recherche scientifique et pédagogie ; artisanat, polyculture-élevage ; action sociale et solidaire… Écologie.
Les activités de la Ferme du Bonheur reposent sur un ensemble de bâtis, de mobiliers et de terrains, formant un ensemble esthétique cohérent, et participant à la réussite du projet global et sa réputation, notamment sur son rapport au vivant.
La Ferme du Bonheur propose dans ses espaces et au-delà un programme culturel diversifié tout au long de l’année : théâtre, musique, danse, cinéma, arts plastiques.
Le projet agricole pourrait être décrit comme celui d’une Ferme vivrière en polyculture-élevage minimisant la mécanisation, rappelant d’une certaine manière « la Ferme de nos Arrière-Grands-Parents »
Installée dans un territoire périurbain où la présence des infrastructures de transport, la forte circulation automobile, la permanence des chantiers de réhabilitation et de construction imposent une forme d’hostilité permanente, la Ferme s’envisage comme un lieu d’apaisement, de reconnexion avec la nature, avec la nourriture.
En développant depuis près de 30 ans un projet singulier qu’elle qualifie « d’agro-poétique » sur l’espace public, sur des délaissés urbain, des terrains en friche qu’elle revalorise, elle a suscité et participé à l’émergence de l’agriculture urbaine.
Comme pour l’ensemble de ses activités, l’activité agricole de la Ferme du Bonheur repose largement sur l’implication de son public et de ses bénévoles au quotidien, lors de son rendez-vous dominical des « Dimanches au Champ », lors de stages d’initiation, de journées « Responsabilité Sociale des Entreprises » ou de semaines de « vacances-chantier ».
Enfin, la Ferme attache une forte importance à sa dimension expérimentale et désigne son développement comme « Parc Rural Expérimental » : le P.R.É.